Prix Gaïa : les lauréats 2022
Remis depuis 1993 à l'équinoxe d'automne, le Prix Gaïa s'est imposé au fil du temps comme une distinction de référence dans le vaste domaine de la mesure du temps, qu'elle soit abordée par le regard de l'artisan, de l'industriel ou du chercheur.
Unique dans son genre, le Prix Gaïa honore des femmes et des hommes dont les carrières sont dédiées à la mesure du temps.
Dans cet esprit, avec la remise de cette distinction, le Musée international d'horlogerie -le fameux MIH- souhaite souligner chaque année l'apport considérable et incontestable que ses lauréats ont procuré à l'horlogerie, à sa connaissance et à sa culture.
Pour rappel, ce prix fut créé à l’origine en hommage à l’un des premiers mécènes du Musée d’horlogerie, Maurice Ditisheim, président du Conseil d’administration du Bureau de contrôle des ouvrages en métaux précieux.
Gaïa, en grec ancien “la Terre”, est aussi le nom de la divinité qui la symbolise. La distinction Gaïa consiste donc en un globe en acrylique translucide transpercé par un rayon.
Laurent Barotte - lauréat dans la catégorie Artisanat, Création
Pour son expertise dans le domaine de la restauration en pendulerie, pour sa passion communicative et pour l'ambition des projets menés avec ses étudiantes et étudiants, au profit de la valorisation de l'horlogerie monumentale dans l'espace public.
Nico de Rooij - lauréat dans la catégorie Histoire, Recherche
Pour sa carrière exceptionnelle menée dans la recherche en microtechniques, son rôle pionnier joué dans les procédés de fabrication de capteurs et d'actionneurs miniaturisés en silicium et sa contribution au transfert de technologies au profit de l'industrie horlogère.
Edouard Meylan - lauréat dans la catégorie Esprit d'entreprise
Pour sa carrière audacieuse et sa démarche entrepreneuriale menée en défendant la belle horlogerie mécanique en toute indépendance tant au point de vue du développement de produits et de composants que de la communication.
Remis depuis 1993 à l'équinoxe d'automne, le Prix Gaïa s'est imposé au fil du temps comme une distinction de référence dans le vaste domaine de la mesure du temps, qu'elle soit abordée par le regard de l'artisan, de l'industriel ou du chercheur.
Unique dans son genre, le Prix Gaïa honore des femmes et des hommes dont les carrières sont dédiées à la mesure du temps.
Dans cet esprit, avec la remise de cette distinction, le Musée international d'horlogerie -le fameux MIH- souhaite souligner chaque année l'apport considérable et incontestable que ses lauréats ont procuré à l'horlogerie, à sa connaissance et à sa culture.
Pour rappel, ce prix fut créé à l’origine en hommage à l’un des premiers mécènes du Musée d’horlogerie, Maurice Ditisheim, président du Conseil d’administration du Bureau de contrôle des ouvrages en métaux précieux.
Gaïa, en grec ancien “la Terre”, est aussi le nom de la divinité qui la symbolise. La distinction Gaïa consiste donc en un globe en acrylique translucide transpercé par un rayon.
Laurent Barotte - lauréat dans la catégorie Artisanat, Création
Pour son expertise dans le domaine de la restauration en pendulerie, pour sa passion communicative et pour l'ambition des projets menés avec ses étudiantes et étudiants, au profit de la valorisation de l'horlogerie monumentale dans l'espace public.
Nico de Rooij - lauréat dans la catégorie Histoire, Recherche
Pour sa carrière exceptionnelle menée dans la recherche en microtechniques, son rôle pionnier joué dans les procédés de fabrication de capteurs et d'actionneurs miniaturisés en silicium et sa contribution au transfert de technologies au profit de l'industrie horlogère.
Edouard Meylan - lauréat dans la catégorie Esprit d'entreprise
Pour sa carrière audacieuse et sa démarche entrepreneuriale menée en défendant la belle horlogerie mécanique en toute indépendance tant au point de vue du développement de produits et de composants que de la communication.