Soleil de plomb... Asphalte incandescent… Hurlement des mécaniques survoltées...
Chez TAG Heuer, une course automobile se raconte comme une épopée en son et lumière. Il faut dire que de tout temps la compétition, les moteurs, les as du pilotage, les dixièmes et les centièmes de seconde, ont fait partie intégrante de l’existence de la marque.
Dès 1880, la firme fondée par Edouard Heuer en 1860, en Suisse, a été la première à se lancer dans la fabrication en série de chronographes. En 1911, Heuer a commercialisé sa première horloge de voiture. En 1930 est apparue la montre Monza, précédant de près de quarante ans la célébrissime Monaco, deux montres portant le nom de circuits automobiles mythiques. Et puis, entre-temps, dans les années 1960, il y eut la Carrera, baptisée ainsi en souvenir d’une épreuve d’anthologie.
« Ce sont les pilotes mexicains Ricardo et Pedro Rodriguez qui, les premiers, m’ont parlé de cette course créée en 1950 dans leur pays, pour célébrer l’achèvement de la Panaméricaine, la première route reliant les deux extrémités du continent américain, », raconte aujourd’hui Jack Heuer, arrière-petit-fils du fondateur de la marque, qui dirigea longtemps l’entreprise.
Disputée sur un mélange de bitume abrasif, de caillasse tranchante et de poussière rouge, la Carrera Panamericana Mexico s’élançait de la frontière nord-américaine pour s’achever aux limites du Guatemala.
Jack Heuer se souvient fort bien du récit des frères Rodriguez : « En novembre 1952, lorsqu’il heurta à 200 km/h un vautour qui fracassa son pare-brise et blessa son copilote, Karl Kling maudit le Mexique, la montagne et cette course insensée. Comment pouvait-il imaginer qu’il franchirait malgré tout en vainqueur la ligne d’arrivée de la troisième Carrera Panamericana Mexico, après huit étapes et 3 113 kilomètres de poursuite échevelée ? »
Chez TAG Heuer, une course automobile se raconte comme une épopée en son et lumière. Il faut dire que de tout temps la compétition, les moteurs, les as du pilotage, les dixièmes et les centièmes de seconde, ont fait partie intégrante de l’existence de la marque.
Dès 1880, la firme fondée par Edouard Heuer en 1860, en Suisse, a été la première à se lancer dans la fabrication en série de chronographes. En 1911, Heuer a commercialisé sa première horloge de voiture. En 1930 est apparue la montre Monza, précédant de près de quarante ans la célébrissime Monaco, deux montres portant le nom de circuits automobiles mythiques. Et puis, entre-temps, dans les années 1960, il y eut la Carrera, baptisée ainsi en souvenir d’une épreuve d’anthologie.
« Ce sont les pilotes mexicains Ricardo et Pedro Rodriguez qui, les premiers, m’ont parlé de cette course créée en 1950 dans leur pays, pour célébrer l’achèvement de la Panaméricaine, la première route reliant les deux extrémités du continent américain, », raconte aujourd’hui Jack Heuer, arrière-petit-fils du fondateur de la marque, qui dirigea longtemps l’entreprise.
Disputée sur un mélange de bitume abrasif, de caillasse tranchante et de poussière rouge, la Carrera Panamericana Mexico s’élançait de la frontière nord-américaine pour s’achever aux limites du Guatemala.
Jack Heuer se souvient fort bien du récit des frères Rodriguez : « En novembre 1952, lorsqu’il heurta à 200 km/h un vautour qui fracassa son pare-brise et blessa son copilote, Karl Kling maudit le Mexique, la montagne et cette course insensée. Comment pouvait-il imaginer qu’il franchirait malgré tout en vainqueur la ligne d’arrivée de la troisième Carrera Panamericana Mexico, après huit étapes et 3 113 kilomètres de poursuite échevelée ? »
Un an plus tard, ce fut le grand Juan-Manuel Fangio qui inscrivit son nom au palmarès. Disparue au bout de cinq ans seulement en raison d’un trop grand nombre d’accidents, la course entra cependant dans les mémoires comme le rallye d’endurance le plus exigeant du monde.
Totalement conquis par ce marathon automobile dantesque, Jack Heuer décida en 1963 de baptiser « Carrera » le chronographe qui venait d’être conçu dans les atelier Heuer, en Suisse. Ce modèle présentait en effet, la particularité de disposer sur le pourtour du cadran d’une inhabituelle surface inclinée utilisée pour l’échelle des cinquièmes de seconde.
Modèle mythique, la Carrera sera portée au fil du temps par de nombreux champions dont Jackie Ickx, Niki Lauda, Gilles Villeneuve, Mario Andretti, Alain Prost, Lewis Hamilton ou Fernando Alonso.
Entre 1963 et 2012, différentes versions de la Carrera se succéderont aux poignets des passionnés de montres sportives au gré des avancées technologiques de la manufacture : Carrera Chronomatic Calibre 11 en 1969, réédition du chronographe TAG Heuer Carrera en 1996, Carrera Calibre 16 en 2004, Calibre 360 Concept en 2005, Calibre 1887 en 2010, Carrera Héritage et Carrera Mikrograph (premier chronographe au monde offrant une précision au centième de seconde indiqué à l’aide de l’aiguille centrale) en 2011, Carrera Mikrogirder dotée d’une précision au 5/10 000e de seconde en 2012.
Aujourd’hui, la Carrera vit toute une année dédiée à son 50e anniversaire avec trois rééditions de haut niveau équipées d’un mouvement manufacturé à 100 % en interne. Le nouveau Chronographe Carrera Calibre 1887 en acier de 43 mm de diamètre se caractérise par sa lunette en céramique gravée d’une échelle tachymétrique et par un bracelet métallique novateur. La version Racing se différencie par son boîtier en titane sable noir, son bracelet en alligator et son fond en saphir fumé. Et puis il y a la troisième nouveauté de cette nouvelle génération de Carrera, l’Edition Jack Heuer : boîtier asymétrique de 45 mm de diamètre avec couronne et poussoirs sur la partie supérieure, lunette en acier et carbure de titane noir, tachymètre et pulsomètre sur le cadran, blason et signature de Jack Heuer ornant le fond en saphir fumé. Un bel hommage au président d’honneur de TAG Heuer et aux racines de la Carrera.
Totalement conquis par ce marathon automobile dantesque, Jack Heuer décida en 1963 de baptiser « Carrera » le chronographe qui venait d’être conçu dans les atelier Heuer, en Suisse. Ce modèle présentait en effet, la particularité de disposer sur le pourtour du cadran d’une inhabituelle surface inclinée utilisée pour l’échelle des cinquièmes de seconde.
Modèle mythique, la Carrera sera portée au fil du temps par de nombreux champions dont Jackie Ickx, Niki Lauda, Gilles Villeneuve, Mario Andretti, Alain Prost, Lewis Hamilton ou Fernando Alonso.
Entre 1963 et 2012, différentes versions de la Carrera se succéderont aux poignets des passionnés de montres sportives au gré des avancées technologiques de la manufacture : Carrera Chronomatic Calibre 11 en 1969, réédition du chronographe TAG Heuer Carrera en 1996, Carrera Calibre 16 en 2004, Calibre 360 Concept en 2005, Calibre 1887 en 2010, Carrera Héritage et Carrera Mikrograph (premier chronographe au monde offrant une précision au centième de seconde indiqué à l’aide de l’aiguille centrale) en 2011, Carrera Mikrogirder dotée d’une précision au 5/10 000e de seconde en 2012.
Aujourd’hui, la Carrera vit toute une année dédiée à son 50e anniversaire avec trois rééditions de haut niveau équipées d’un mouvement manufacturé à 100 % en interne. Le nouveau Chronographe Carrera Calibre 1887 en acier de 43 mm de diamètre se caractérise par sa lunette en céramique gravée d’une échelle tachymétrique et par un bracelet métallique novateur. La version Racing se différencie par son boîtier en titane sable noir, son bracelet en alligator et son fond en saphir fumé. Et puis il y a la troisième nouveauté de cette nouvelle génération de Carrera, l’Edition Jack Heuer : boîtier asymétrique de 45 mm de diamètre avec couronne et poussoirs sur la partie supérieure, lunette en acier et carbure de titane noir, tachymètre et pulsomètre sur le cadran, blason et signature de Jack Heuer ornant le fond en saphir fumé. Un bel hommage au président d’honneur de TAG Heuer et aux racines de la Carrera.