Associant un chronographe flyback et un tourbillon volant –une première pour la collection Royal Oak– et limité à 150 exemplaires (pour les 150 ans de la manufacture-, ce garde-temps de 39 mm combine titane et verre métallique (BMG) qui lui confèrent légèreté mais aussi, résistance et éclat.
Chronographe flyback et tourbillon volant : une double complication inédite qui a représenté un défi considérable pour les équipes d’Audemars Piguet compte tenu des dimensions de ce modèle. Lancée en 1972 et conçue par Gérald Genta, la première Royal Oak est surnommée « Jumbo » en référence à ses dimensions jugées larges pour l’époque.
Aujourd’hui prisée des collectionneurs, elle incarne l’ergonomie parfaite avec ses 39 mm (les modèles en 41 mm sont souvent trop larges pour les poignets standards) et ses 8,1 mm d’épaisseur. Un critère qui en fait la candidate idéale pour ce nouveau développement dans lequel la mécanique se met au service du design.
En gardant en tête le confort de l’utilisateur et la nécessité de respecter scrupuleusement les codes esthétiques de la ligne, les équipes du département R&D ont entièrement repensé la construction du chronographe « pour offrir une sensation au toucher d’une finesse inédite, tout en réduisant au maximum l’épaisseur du mécanisme » précise la marque dans son communiqué.
Chronographe flyback et tourbillon volant : une double complication inédite qui a représenté un défi considérable pour les équipes d’Audemars Piguet compte tenu des dimensions de ce modèle. Lancée en 1972 et conçue par Gérald Genta, la première Royal Oak est surnommée « Jumbo » en référence à ses dimensions jugées larges pour l’époque.
Aujourd’hui prisée des collectionneurs, elle incarne l’ergonomie parfaite avec ses 39 mm (les modèles en 41 mm sont souvent trop larges pour les poignets standards) et ses 8,1 mm d’épaisseur. Un critère qui en fait la candidate idéale pour ce nouveau développement dans lequel la mécanique se met au service du design.
En gardant en tête le confort de l’utilisateur et la nécessité de respecter scrupuleusement les codes esthétiques de la ligne, les équipes du département R&D ont entièrement repensé la construction du chronographe « pour offrir une sensation au toucher d’une finesse inédite, tout en réduisant au maximum l’épaisseur du mécanisme » précise la marque dans son communiqué.
Il en résulte un garde-temps mêlant complexité technique, simplicité d’utilisation et sobriété esthétique.
« (…) Avec cette dernière innovation RD#5, nous avons souhaité offrir aux amateurs d’horlogerie une montre compliquée mais agréable à porter et simple à manipuler. Un garde-temps destiné aux utilisateurs qui s’intègre parfaitement à nos modes de vie modernes tout en rendant hommage au premier modèle « Jumbo » par sa sobriété esthétique » précise Ilaria Resta, directrice Générale, Audemars Piguet.
Aux prémices du projet RD#5, il y avait la volonté de créer un chronographe offrant un niveau de confort supplémentaire à l’utilisateur. Dans cet esprit, le développement a été guidé par une étude ergonomique globale –couvrant le mouvement, l’habillage et le design- qui a permis d’identifier les attentes afin de générer des solutions sur mesure.
La première innovation porte sur les poussoirs du chronographe de part et d’autre de la couronne à 3h. Dans un chronographe contemporain, les poussoirs nécessitent une force relativement élevée pour les enclencher.
« Leur course –c’est-à-dire le chemin qu’ils doivent parcourir pour s’enfoncer– est souvent de 1 mm voire plus et la force que doit exercer l’utilisateur pour enclencher la fonction avoisine les 1,5 kilo. », explique Giulio Papi, Directeur Conception Horlogère.
« (…) Avec cette dernière innovation RD#5, nous avons souhaité offrir aux amateurs d’horlogerie une montre compliquée mais agréable à porter et simple à manipuler. Un garde-temps destiné aux utilisateurs qui s’intègre parfaitement à nos modes de vie modernes tout en rendant hommage au premier modèle « Jumbo » par sa sobriété esthétique » précise Ilaria Resta, directrice Générale, Audemars Piguet.
Aux prémices du projet RD#5, il y avait la volonté de créer un chronographe offrant un niveau de confort supplémentaire à l’utilisateur. Dans cet esprit, le développement a été guidé par une étude ergonomique globale –couvrant le mouvement, l’habillage et le design- qui a permis d’identifier les attentes afin de générer des solutions sur mesure.
La première innovation porte sur les poussoirs du chronographe de part et d’autre de la couronne à 3h. Dans un chronographe contemporain, les poussoirs nécessitent une force relativement élevée pour les enclencher.
« Leur course –c’est-à-dire le chemin qu’ils doivent parcourir pour s’enfoncer– est souvent de 1 mm voire plus et la force que doit exercer l’utilisateur pour enclencher la fonction avoisine les 1,5 kilo. », explique Giulio Papi, Directeur Conception Horlogère.
« Nous avons voulu réduire ces valeurs afin d’optimiser l’expérience client en reproduisant la sensation des poussoirs des smartphones qui ont une course de 0,3 mm pour une force de 300 grammes ».
La notion de confort tactile des poussoirs était déjà présente dans les montres chronographe des année 1950 et 1960, nécessitant un travail méticuleux de réglage de la part des artisans.
Avec l’arrivée des joints d’étanchéité et l’accélération de l’industrialisation dans les années 1970, la force nécessaire pour l’activation des poussoirs de chronographe a considérablement augmenté.
Aujourd’hui, Audemars Piguet innove dans ce domaine pour offrir à ses clients une expérience d’utilisation plus douce.
La notion de confort tactile des poussoirs était déjà présente dans les montres chronographe des année 1950 et 1960, nécessitant un travail méticuleux de réglage de la part des artisans.
Avec l’arrivée des joints d’étanchéité et l’accélération de l’industrialisation dans les années 1970, la force nécessaire pour l’activation des poussoirs de chronographe a considérablement augmenté.
Aujourd’hui, Audemars Piguet innove dans ce domaine pour offrir à ses clients une expérience d’utilisation plus douce.
La RD#5 présente par ailleurs une couronne avec sélecteur de fonction qui intègre un poussoir avec un indicateur visuel à deux positions : remontage et mise à l’heure.
Ce système de sélection facile d’utilisation et discret remplace celui de la couronne traditionnelle hérité des montres de poches, tout en respectant l’esthétique originale de la Royal Oak.
Enfin, dans le but de préserver la finesse de la « Jumbo » qui intègre maintenant cette double complication, les ingénieurs d’AP ont opté pour une glace saphir côté cadran et côté fond, dite « glass box ».
Bien que tout à fait plates à l’extérieur, les glaces sont évidées à l’intérieur afin, notamment, de laisser plus d’espace au passage des aiguilles ainsi qu’au mouvement et à sa masse.
« Avec cette innovation, AP réinterprète le chronographe pour en augmenter le confort de manipulation. La RD#5 est capable d’emmagasiner de l’énergie pendant le fonctionnement du chronographe et de la restituer lors de la remise à zéro, ce qui permet pour la première fois de la doter de poussoirs à faible course et faible force pour plus de douceur et un confort inégalé » explique Lucas Raggi, directeur industriel d’Audemars Piguet.
Ce système de sélection facile d’utilisation et discret remplace celui de la couronne traditionnelle hérité des montres de poches, tout en respectant l’esthétique originale de la Royal Oak.
Enfin, dans le but de préserver la finesse de la « Jumbo » qui intègre maintenant cette double complication, les ingénieurs d’AP ont opté pour une glace saphir côté cadran et côté fond, dite « glass box ».
Bien que tout à fait plates à l’extérieur, les glaces sont évidées à l’intérieur afin, notamment, de laisser plus d’espace au passage des aiguilles ainsi qu’au mouvement et à sa masse.
« Avec cette innovation, AP réinterprète le chronographe pour en augmenter le confort de manipulation. La RD#5 est capable d’emmagasiner de l’énergie pendant le fonctionnement du chronographe et de la restituer lors de la remise à zéro, ce qui permet pour la première fois de la doter de poussoirs à faible course et faible force pour plus de douceur et un confort inégalé » explique Lucas Raggi, directeur industriel d’Audemars Piguet.
Et de préciser : « pour obtenir cette sensation comparable aux poussoirs des smartphones, il a fallu complètement revoir la façon de concevoir les fonctions du chronographe »
Depuis plus de 150 ans, le mécanisme du chronographe a bien évidemment, connu de nombreuses évolutions, mais son fonctionnement de base, intégrant notamment un marteau et un cœur pour la fonction de remise à zéro des aiguilles, est resté le même.
Avec le Calibre 8100, présenté pour la première fois dans cette RD#5, Audemars Piguet a annonce « réinventer entièrement le système de remise à zéro afin de proposer un chronographe flyback complet, plus ergonomique, intuitif et précis ».
A ce titre, le Calibre 8100 a été développé selon des critères stricts, avec l’objectif de créer une mécanique qui serve à la fois le design et l’ergonomie. Il s’intègre parfaitement dans les dimensions de la boîte « Jumbo » et offre des compteurs des minutes (à 9h) et des heures (à 3h) symétriques et de tailles généreuses pour une lisibilité optimale.
Les ingénieurs ont développé une nouvelle cinématique brevetée qui optimise à la fois l’énergie issue du mouvement et celle transmise par les poussoirs à faible course et faible force. Ce système innovant repose sur un mécanisme de pignon et crémaillère, conçu pour remplacer le traditionnel cœur et marteau.
Depuis plus de 150 ans, le mécanisme du chronographe a bien évidemment, connu de nombreuses évolutions, mais son fonctionnement de base, intégrant notamment un marteau et un cœur pour la fonction de remise à zéro des aiguilles, est resté le même.
Avec le Calibre 8100, présenté pour la première fois dans cette RD#5, Audemars Piguet a annonce « réinventer entièrement le système de remise à zéro afin de proposer un chronographe flyback complet, plus ergonomique, intuitif et précis ».
A ce titre, le Calibre 8100 a été développé selon des critères stricts, avec l’objectif de créer une mécanique qui serve à la fois le design et l’ergonomie. Il s’intègre parfaitement dans les dimensions de la boîte « Jumbo » et offre des compteurs des minutes (à 9h) et des heures (à 3h) symétriques et de tailles généreuses pour une lisibilité optimale.
Les ingénieurs ont développé une nouvelle cinématique brevetée qui optimise à la fois l’énergie issue du mouvement et celle transmise par les poussoirs à faible course et faible force. Ce système innovant repose sur un mécanisme de pignon et crémaillère, conçu pour remplacer le traditionnel cœur et marteau.
En emmagasinant l’énergie dans la crémaillère, ce dispositif permet de mettre le rouage en tension et d’assurer la fonction anti-chevrotement de l’aiguille de chronographe, tout en supprimant le ressort de friction présent dans les chronographes contemporains –un élément qui agit comme un frein permanent, aussi bien lors de l’entraînement que de la remise à zéro.
Le résultat : une consommation d’énergie similaire, mais désormais stockée plutôt que dissipée. Doté d’une masse oscillante périphérique en platine, le Calibre 8100 révèle la cinématique d’un mouvement aux finitions « haute horlogerie » telles que l’anglage manuel et le satinage.
Un autre écueil du chronographe traditionnel est l’énergie qu’il faut fournir lors de la remise à zéro. Ici encore, les équipes d’AP ont imaginé une solution : une remise à zéro plus fluide pour une inertie réduite.
L’énergie emmagasinée dans la crémaillère peut être libérée pour ramener l’aiguille de chronographe à zéro selon un mouvement rétrograde.
Le résultat : une consommation d’énergie similaire, mais désormais stockée plutôt que dissipée. Doté d’une masse oscillante périphérique en platine, le Calibre 8100 révèle la cinématique d’un mouvement aux finitions « haute horlogerie » telles que l’anglage manuel et le satinage.
Un autre écueil du chronographe traditionnel est l’énergie qu’il faut fournir lors de la remise à zéro. Ici encore, les équipes d’AP ont imaginé une solution : une remise à zéro plus fluide pour une inertie réduite.
L’énergie emmagasinée dans la crémaillère peut être libérée pour ramener l’aiguille de chronographe à zéro selon un mouvement rétrograde.
Grâce à un rendement élevé et à une inertie réduite –rendue possible par l’utilisation de composants en titane, notamment l’aiguille et la roue de chronographe– la remise à zéro s’effectue de manière instantanée, avec un minimum d’énergie.
« Imaginez le chronographe traditionnel comme une voiture qui avait l’habitude de rouler alors que le frein à main était enclenché. Grâce au Calibre 8100, le frein à main est supprimé et la voiture est maintenant attachée à un élastique lorsqu’elle sort du garage.
C’est cet élastique qui servira ensuite à la ramener au garage. L’énergie qui était auparavant perdue en raison du frottement avec le frein s’est maintenant accumulée dans l’élastique » poursuit Giulio Papi.
« Lorsqu’on procède à la remise à zéro du chronographe, l’énergie accumulée est libérée et l’aiguille revient à sa position en moins de 0,15 seconde.
« Imaginez le chronographe traditionnel comme une voiture qui avait l’habitude de rouler alors que le frein à main était enclenché. Grâce au Calibre 8100, le frein à main est supprimé et la voiture est maintenant attachée à un élastique lorsqu’elle sort du garage.
C’est cet élastique qui servira ensuite à la ramener au garage. L’énergie qui était auparavant perdue en raison du frottement avec le frein s’est maintenant accumulée dans l’élastique » poursuit Giulio Papi.
« Lorsqu’on procède à la remise à zéro du chronographe, l’énergie accumulée est libérée et l’aiguille revient à sa position en moins de 0,15 seconde.
Un grand travail a été réalisé sur le comportement des aiguilles pour que la remise à zéro soit si rapide qu’elle devienne presque imperceptible à l’œil, mais aussi pour supprimer les sauts au démarrage ou encore, offrir un saut de minute instantané fortement valorisé par les collectionneurs », conclut Giulio Papi.
Outre ces innovations, le nouveau Calibre 8100 dispose d’un tourbillon volant ainsi qu’un nouvel embrayage par roue à déplacement vertical.
Mélangeant embrayage traditionnel dont il conserve les roues dentées et embrayage à friction, ce nouveau dispositif permet à la roue d’embrayage de se déplacer verticalement, supprimant les rotations parasites et limitant les sauts.
Le calibre est également doté d’une roue à colonne qui permet de piloter précisément les séquences de l’embrayage et du frein, et de répartir les forces avec fluidité, notamment celles du poussoir marche et arrêt.
Outre ces innovations, le nouveau Calibre 8100 dispose d’un tourbillon volant ainsi qu’un nouvel embrayage par roue à déplacement vertical.
Mélangeant embrayage traditionnel dont il conserve les roues dentées et embrayage à friction, ce nouveau dispositif permet à la roue d’embrayage de se déplacer verticalement, supprimant les rotations parasites et limitant les sauts.
Le calibre est également doté d’une roue à colonne qui permet de piloter précisément les séquences de l’embrayage et du frein, et de répartir les forces avec fluidité, notamment celles du poussoir marche et arrêt.
Pour le poussoir de remise à zéro, un système breveté, à la fois compact et ingénieux, permet d’emmagasiner l’énergie jusqu’à un point de bascule précis.
Une fois ce seuil atteint, une bascule centrale libère simultanément tous les compteurs en isolant les obstacles qui les retiennent, permettant à chaque aiguille de revenir à zéro sous l’action de sa crémaillère, assurant une transition nette et parfaitement synchronisée.
Au dos de la montre, on remarque une masse oscillante périphérique en platine, permettant de gagner en épaisseur et offrant une vue dégagée sur la cinématique du mouvement.
Disposant d’une réserve de marche de 72 h, très confortable, ce chronographe s’adapte aisément au style de vie moderne, « permettant notamment de pratiquer des activités sportives sans risque de se dérégler » assure la manufacture dans son communiqué.
Une fois ce seuil atteint, une bascule centrale libère simultanément tous les compteurs en isolant les obstacles qui les retiennent, permettant à chaque aiguille de revenir à zéro sous l’action de sa crémaillère, assurant une transition nette et parfaitement synchronisée.
Au dos de la montre, on remarque une masse oscillante périphérique en platine, permettant de gagner en épaisseur et offrant une vue dégagée sur la cinématique du mouvement.
Disposant d’une réserve de marche de 72 h, très confortable, ce chronographe s’adapte aisément au style de vie moderne, « permettant notamment de pratiquer des activités sportives sans risque de se dérégler » assure la manufacture dans son communiqué.
Cette Royal Oak RD#5 intègre également le tourbillon volant avec échappement à grande amplitude -présenté à l’origine en 2022 au sein de la RD#3.
Ce tourbillon volant automatique avait alors été intégralement repensé afin de réduire l’épaisseur nécessaire pour l’abriter, tout en conservant ses proportions originelles.
Les équipes ont ainsi repositionné certains composants et créé un nouvel échappement qui entraîne la cage en titane de façon périphérique, améliorant la distribution d’énergie du tourbillon tout en l’allégeant et en l’affinant.
Ce nouvel échappement fonctionne de concert avec un oscillateur tolérant des amplitudes plus élevées qu’un échappement conventionnel, limitant ainsi l’effet de rebat qui se produit lorsque l’énergie excessive de l’échappement est transférée à l’oscillateur afin de renforcer la fiabilité, la gestion de l’énergie et la précision du garde-temps.
Poussant encore plus loin cette innovation, la Manufacture combine à présent cette prouesse technique à son nouveau calibre chronographe ultra-plat, marquant une double complication inédite.
Ce tourbillon volant automatique avait alors été intégralement repensé afin de réduire l’épaisseur nécessaire pour l’abriter, tout en conservant ses proportions originelles.
Les équipes ont ainsi repositionné certains composants et créé un nouvel échappement qui entraîne la cage en titane de façon périphérique, améliorant la distribution d’énergie du tourbillon tout en l’allégeant et en l’affinant.
Ce nouvel échappement fonctionne de concert avec un oscillateur tolérant des amplitudes plus élevées qu’un échappement conventionnel, limitant ainsi l’effet de rebat qui se produit lorsque l’énergie excessive de l’échappement est transférée à l’oscillateur afin de renforcer la fiabilité, la gestion de l’énergie et la précision du garde-temps.
Poussant encore plus loin cette innovation, la Manufacture combine à présent cette prouesse technique à son nouveau calibre chronographe ultra-plat, marquant une double complication inédite.
« Entièrement repensée pour satisfaire les clients, la RD#5 réunit tous les attributs d’un chronographe raffiné : une exclusivité mondiale avec ses poussoirs à touches sensitives d’une douceur inédite, un compteur de minutes à saut instantané, une finesse remarquable et une ergonomie de lecture pensée dans les moindres détails » explique Giulio Papi, Directeur Conception Horlogère, Audemars Piguet
Cette Royal Oak « Jumbo est habillée -boîte et bracelet intégré- de matériaux innovants en combinant la légèreté du titane à la résistance du BMG (Bulk Metallic Glass).
Découvert dans les années 1960, les BMG sont des alliages qui, lorsqu’ils sont rapidement refroidis, partagent plusieurs caractéristiques communes avec le verre telles que la robustesse et l’amorphisme.
Composé à plus de 50% de palladium, le BMG développé par AP possède une forte résistance à l’usure, à la corrosion, ainsi qu’un aspect brillant. Lancé en 2021 sur la pièce unique Royal Oak « Jumbo » ExtraPlat (réf. 15202XT) créée à l’époque pour Only Watch, ce matériau est entré en collection en 2023.
Pour cette nouvelle édition limitée, la lunette, les poussoirs, la pastille du sélecteur de fonction à la couronne et les plots sont conçus en BMG, lui-même terminé par une finition poli miroir qui en révèle l’éclat. Le fond de boîte est quant à lui satiné circulaire.
La boîte et les maillons de bracelet sont en titane, alternant une terminaison satinée et des chanfreins polis pour créer un captivant jeu de lumière. Le cadran guilloché est orné du fameux motif Petite Tapisserie « Bleu Nuit, Nuage 50 » sur lequel se détachent les index en or rhodié et les aiguilles luminescentes en or gris.
Les compteurs à 9h et 3h sont peints du même bleu et agrémentés d’une finition azurée pour en augmenter la lisibilité. Les aiguilles de chronographe sont pour leur part conçues en titane pour plus de légèreté afin de permettre une rapidité de mouvement.
À 6h, le tourbillon volant aux tons rhodiés opère ses rotations en attirant l’œil sur le cœur battant de la montre. Pour célébrer cette année anniversaire, la signature de cadran Audemars Piguet spécialement développée pour l’occasion (peut-être l’élément le plus critiqué par la communauté horlogère) sur la base de documents d’archives trône à 12h.
Le fond de boîte porte quant à lui les gravures « 1 of 150 pieces » ainsi que le logo « 150 » ans, renforçant le caractère exceptionnel de ce garde-temps qui marie héritage et innovation.
Cette Royal Oak « Jumbo est habillée -boîte et bracelet intégré- de matériaux innovants en combinant la légèreté du titane à la résistance du BMG (Bulk Metallic Glass).
Découvert dans les années 1960, les BMG sont des alliages qui, lorsqu’ils sont rapidement refroidis, partagent plusieurs caractéristiques communes avec le verre telles que la robustesse et l’amorphisme.
Composé à plus de 50% de palladium, le BMG développé par AP possède une forte résistance à l’usure, à la corrosion, ainsi qu’un aspect brillant. Lancé en 2021 sur la pièce unique Royal Oak « Jumbo » ExtraPlat (réf. 15202XT) créée à l’époque pour Only Watch, ce matériau est entré en collection en 2023.
Pour cette nouvelle édition limitée, la lunette, les poussoirs, la pastille du sélecteur de fonction à la couronne et les plots sont conçus en BMG, lui-même terminé par une finition poli miroir qui en révèle l’éclat. Le fond de boîte est quant à lui satiné circulaire.
La boîte et les maillons de bracelet sont en titane, alternant une terminaison satinée et des chanfreins polis pour créer un captivant jeu de lumière. Le cadran guilloché est orné du fameux motif Petite Tapisserie « Bleu Nuit, Nuage 50 » sur lequel se détachent les index en or rhodié et les aiguilles luminescentes en or gris.
Les compteurs à 9h et 3h sont peints du même bleu et agrémentés d’une finition azurée pour en augmenter la lisibilité. Les aiguilles de chronographe sont pour leur part conçues en titane pour plus de légèreté afin de permettre une rapidité de mouvement.
À 6h, le tourbillon volant aux tons rhodiés opère ses rotations en attirant l’œil sur le cœur battant de la montre. Pour célébrer cette année anniversaire, la signature de cadran Audemars Piguet spécialement développée pour l’occasion (peut-être l’élément le plus critiqué par la communauté horlogère) sur la base de documents d’archives trône à 12h.
Le fond de boîte porte quant à lui les gravures « 1 of 150 pieces » ainsi que le logo « 150 » ans, renforçant le caractère exceptionnel de ce garde-temps qui marie héritage et innovation.