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Bovet Virtuoso VIII Chapter Two : l'heure lumineuse


La maison horlogère et indépendante Bovet, poursuit le développement de son modèle tourbillon Vituoso VIII Chapter II avec l’arrivée de nouveaux garde-temps aux allures très contemporaines dotés de boitiers de 44mm en titane noir brillant Diamond Like Carbon (DLC) associés à des cadrans en Superluminova. Compter dans les 200.000 euros.



Les imposants boîtiers de 44 mm (étanches à 30 mètres) de ces cinq nouveautés, chacune en édition limitée de 8 exemplaires, sont réalisés en titane Grade 5 ; ils ont été traités avec du DLC noir brillant, créant un « côté sombre » qui contraste avec les couleurs vives du cadran (vert, bleu, jaune, violet et saumon).
 
Ce garde-temps reprend tout ce qui a fait la particularité de cette collection : le tourbillon volant breveté avec dix jours de réserve de marche, le système breveté de remontage accéléré, le boîtier en forme d’écritoire et l’ouverture en verre saphir, la fine décoration du mouvement, l’affichage de la grande date et les deux cadrans formant un chiffre huit horizontal, qui, en numérologie et dans de
multiples cultures, symbolise la chance et l’infini.
 
Pour une meilleure lisibilité, l’affichage des secondes a été conçu pour être présenté par le biais d’un sous-cadran revêtu de Superluminova vissé sous la roue de la cage. La flèche de l’index est suspendue au-dessus de la surface du cadran circulaire indiquant les 60 secondes. La lisibilité de ce écran, même dans l’obscurité, est remarquable.

Pour y parvenir, le cadran des secondes doit être fixé à la plaque lors des premières phases d’assemblage, ce qui rend le travail des horlogers encore plus délicat lorsqu’il s’agit de travailler avec le revêtement Superluminova, car une seule rayure nécessitera de recommencer l’opération à zéro !
 
Il est difficile d’imaginer qu’un cadran en Superluminova d’un tel diamètre, suspendu au-dessus des disques de date, puisse permettre un affichage de la date aussi grand. L’espace entre le disque des unités et celui des heures est réduit pour optimiser la lisibilité, en le rendant aussi grand que possible pour une meilleure lisibilité.
 
Les horlogers n’ont pas non plus oublié la correction de la date, qui ne nécessite même pas de retirer le garde-temps du poignet et s’effectue par simple pression sur la couronne ornée d’un cabochon en saphir véritable. Le correcteur rapide de date et le positionnement iconique de la couronne à 12 heures évitent toute correction accidentelle de la date.

Le mouvement à remontage manuel (394 composants) qui anime ce garde-temps exceptionnel répond aux critères de Bovet 1822 en matière de chronométrie. Il tire son énergie d’un seul barillet qui assure plus de dix jours de réserve de marche, tout en maintenant les oscillations du balancier à 18 000 vph.
 
Enfin, la réserve de marche de plus de dix jours, assurée par un seul barillet, nécessiterait un remontage méticuleux sans le système de remontage différentiel sphérique. L’application de cet ingénieux mécanisme et la denture tridimensionnelle à engrenages multiples de l’un de ses pignons, ont fait l’objet de deux brevets.
 
Grâce à ce système de remontage différentiel, le nombre de tours de couronne nécessaires à l’enroulement complet du ressort est réduit de moitié sans augmenter les frottements et les forces exercées sur les engrenages. L’ensemble se porte sur un bracelet en alligator sur boucle ardillon en acier DLC.

Montres-de-luxe.com | Publié le 12 Août 2021 | Lu 11428 fois






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