Au 18ème siècle déjà, Breguet impressionne par son esprit prodigieusement inventif.
Maîtrisant des domaines divers et variés, tels que les mathématiques et l’astronomie, l’érudit horloger use de l’ensemble de ses connaissances au service de sa vocation.
Il développe rapidement toutes sortes de systèmes ingénieux, qui lui valent une reconnaissance inégalée auprès de ses pairs. Sa carrière débute sur les chapeaux de roue dans les années 1780 avec le développement de la montre automatique dite « perpétuelle », ou encore l’invention du ressort-timbre pour les montres à répétition.
En 1790, Breguet met au point le « pare-chute », un dispositif antichoc exceptionnel. Quelques années et une dizaine de nouvelles inventions plus tard, il réalise un coup de maître en déposant le brevet du régulateur à tourbillon. De par son utilité, mais surtout la complexité de sa réalisation, le tourbillon devient très vite un modèle de mesure permettant d’évaluer le savoir-faire des horlogers.
Aujourd’hui, la marque Breguet marche sur les pas de son fondateur : en effet, la manufacture fait preuve d’un esprit pionnier et enrichit ses garde-temps de nouvelles technologies. En 2006, la marque présente le résultat de plusieurs années de recherches en dévoilant ses premiers composants en silicium.
La légèreté de ce matériau, couplée à d’autres propriétés extrêmement intéressantes pour l’horlogerie, permet à Breguet de développer le modèle Type XXII, premier chronographe mécanique de série dont le mouvement bat à une fréquence de 10Hz. L’utilisation du silicium, élément amagnétique, ouvre en outre de nouvelles pistes de recherche et Breguet envisage rapidement d’utiliser des aimants à l’intérieur des mécanismes horlogers pour en améliorer les performances.
C’est ainsi que le modèle Classique « La Musicale » voit le jour. Cette montre à sonnerie est dotée du premier régulateur magnétique de l’histoire horlogère. L’introduction de composants magnétiques paraissant jusque-là une hérésie horlogère ouvre de nouveaux horizons.
Conséquemment, en 2012, Breguet dévoile un garde-temps inédit, la Classique Chronométrie. Ce modèle, protégé par six brevets, intègre à un mouvement d’une fréquence de 10Hz un balancier à pivots magnétiques. Il s’agit d’une solution révolutionnaire reposant sur l’utilisation de deux contre-pivots intégrant un micro-aimant à chaque extrémité de l’axe du balancier afin d’améliorer son pivotement, sa rotation et sa stabilité. Il en résulte un pouvoir réglant particulièrement performant, qui offre à Breguet le loisir de poser un nouveau jalon dans l’histoire de l’horlogerie.
Cette année, la Classique Chronométrie est l’une des pièces maîtresses de l’exposition proposée au public de la Foire de Bâle, les samedi 27 et dimanche 28 avril 2013, sur la Plaza du Swatch Group. Après Bâle, la rétrospective des innovations Breguet entamera une tournée mondiale dédiée plus particulièrement au tourbillon. L’exposition « Breguet l’innovateur. Inventeur du tourbillon » sera consécutivement présentée dans les principales villes d’Europe, d’Asie, du Moyen-Orient et des Etats-Unis.
Maîtrisant des domaines divers et variés, tels que les mathématiques et l’astronomie, l’érudit horloger use de l’ensemble de ses connaissances au service de sa vocation.
Il développe rapidement toutes sortes de systèmes ingénieux, qui lui valent une reconnaissance inégalée auprès de ses pairs. Sa carrière débute sur les chapeaux de roue dans les années 1780 avec le développement de la montre automatique dite « perpétuelle », ou encore l’invention du ressort-timbre pour les montres à répétition.
En 1790, Breguet met au point le « pare-chute », un dispositif antichoc exceptionnel. Quelques années et une dizaine de nouvelles inventions plus tard, il réalise un coup de maître en déposant le brevet du régulateur à tourbillon. De par son utilité, mais surtout la complexité de sa réalisation, le tourbillon devient très vite un modèle de mesure permettant d’évaluer le savoir-faire des horlogers.
Aujourd’hui, la marque Breguet marche sur les pas de son fondateur : en effet, la manufacture fait preuve d’un esprit pionnier et enrichit ses garde-temps de nouvelles technologies. En 2006, la marque présente le résultat de plusieurs années de recherches en dévoilant ses premiers composants en silicium.
La légèreté de ce matériau, couplée à d’autres propriétés extrêmement intéressantes pour l’horlogerie, permet à Breguet de développer le modèle Type XXII, premier chronographe mécanique de série dont le mouvement bat à une fréquence de 10Hz. L’utilisation du silicium, élément amagnétique, ouvre en outre de nouvelles pistes de recherche et Breguet envisage rapidement d’utiliser des aimants à l’intérieur des mécanismes horlogers pour en améliorer les performances.
C’est ainsi que le modèle Classique « La Musicale » voit le jour. Cette montre à sonnerie est dotée du premier régulateur magnétique de l’histoire horlogère. L’introduction de composants magnétiques paraissant jusque-là une hérésie horlogère ouvre de nouveaux horizons.
Conséquemment, en 2012, Breguet dévoile un garde-temps inédit, la Classique Chronométrie. Ce modèle, protégé par six brevets, intègre à un mouvement d’une fréquence de 10Hz un balancier à pivots magnétiques. Il s’agit d’une solution révolutionnaire reposant sur l’utilisation de deux contre-pivots intégrant un micro-aimant à chaque extrémité de l’axe du balancier afin d’améliorer son pivotement, sa rotation et sa stabilité. Il en résulte un pouvoir réglant particulièrement performant, qui offre à Breguet le loisir de poser un nouveau jalon dans l’histoire de l’horlogerie.
Cette année, la Classique Chronométrie est l’une des pièces maîtresses de l’exposition proposée au public de la Foire de Bâle, les samedi 27 et dimanche 28 avril 2013, sur la Plaza du Swatch Group. Après Bâle, la rétrospective des innovations Breguet entamera une tournée mondiale dédiée plus particulièrement au tourbillon. L’exposition « Breguet l’innovateur. Inventeur du tourbillon » sera consécutivement présentée dans les principales villes d’Europe, d’Asie, du Moyen-Orient et des Etats-Unis.
