Présentée à l’origine en mars 2021, l’Atlantique Diver de Grandval revient donc, trois ans après, dans sa version 2.0. Globalement, la montre reste la même -on ne change pas une équipe qui gagne- avec toutefois quelques différences notables.
Avant de présenter cette nouveauté, revenons rapidement sur cette plongeuse au design atypique. L’Atlantique Diver joue la carte de la différence avec son boitier tout rond sans cornes et sa couronne vissée placée à 4h.
Dans la pratique, cette plongeuse étanche à 200 mètres embarque un boitier en acier 316L aux finitions polies et brossées de 44mm dépourvu de cornes, ce qui lui permet de s’adapter à la plupart des morphologies. Il apparaît plus petit qu'il n'est en réalité et s'adapte confortablement au poignet.
Avant de présenter cette nouveauté, revenons rapidement sur cette plongeuse au design atypique. L’Atlantique Diver joue la carte de la différence avec son boitier tout rond sans cornes et sa couronne vissée placée à 4h.
Dans la pratique, cette plongeuse étanche à 200 mètres embarque un boitier en acier 316L aux finitions polies et brossées de 44mm dépourvu de cornes, ce qui lui permet de s’adapter à la plupart des morphologies. Il apparaît plus petit qu'il n'est en réalité et s'adapte confortablement au poignet.
Comme toute plongeuse qui se respecte, elle est dotée d’une lunette unidirectionnelle (120 clics) qui embarque dans cette version 2.0 un nouvel insert en inox noir. La couronne est placée à 4h ce qui offre toujours un look sympa tout en permettant de faciliter les mouvements du poignet (sous l’eau ou sur terre d’ailleurs).
Les cadrans de type « sandwich » (les amateurs apprécieront) sont disponibles en trois versions : trois cadrans fumés très tendance : vert, rouge et bleu fumé. On remarque une alternance d’index ronds et de forme trapézoïdale et surtout, l’index de midi de forme hexagonale !
Deux aiguilles partiellement squelettées avec Superluminova scandent les heures et les minutes. Quant à la trotteuse, indispensable sur une plongeuse puisqu’elle fait également office d’indicateur de marche, elle est orange et Lollypop. Quant à la date, exit ! Elle n’est plus de mise et on aime ça.
Les cadrans de type « sandwich » (les amateurs apprécieront) sont disponibles en trois versions : trois cadrans fumés très tendance : vert, rouge et bleu fumé. On remarque une alternance d’index ronds et de forme trapézoïdale et surtout, l’index de midi de forme hexagonale !
Deux aiguilles partiellement squelettées avec Superluminova scandent les heures et les minutes. Quant à la trotteuse, indispensable sur une plongeuse puisqu’elle fait également office d’indicateur de marche, elle est orange et Lollypop. Quant à la date, exit ! Elle n’est plus de mise et on aime ça.
Côté calibre, l’Atlantique Diver est équipée d’un mouvement automatique suisse, le STP1-11 (4Hz), manufacturé dans le Jura par Swiss Technology Production. Il possède une réserve de marche de 44h et une fonction de stop-seconde pour un réglage de l'heure précis.
Cette plongeuse est entièrement assemblée en France à Paris. Elle est livrée avec un bracelet de type « Tropic » en caoutchouc véritable. Rien ne vous empêche cependant d’opter pour un bracelet en cuir (sur-mesure ou prêt-à-porter) qui lui donnera un look plus urbain.
Pour rappel, le nom Grandval est un hommage au château du même nom, aujourd’hui disparu, situé en petite couronne parisienne, où Diderot effectua de nombreux séjours alors qu’il rédigeait sa fameuse encyclopédie. Ce château donna son nom au quartier où grandit le créateur de la marque.
Au final, une montre d’un très bon rapport qualité-prix (en précommande à 790 euros) qui offre un design assez unique, de jolies finitions, un calibre efficace et une belle personnalité au poignet.
Cette plongeuse est entièrement assemblée en France à Paris. Elle est livrée avec un bracelet de type « Tropic » en caoutchouc véritable. Rien ne vous empêche cependant d’opter pour un bracelet en cuir (sur-mesure ou prêt-à-porter) qui lui donnera un look plus urbain.
Pour rappel, le nom Grandval est un hommage au château du même nom, aujourd’hui disparu, situé en petite couronne parisienne, où Diderot effectua de nombreux séjours alors qu’il rédigeait sa fameuse encyclopédie. Ce château donna son nom au quartier où grandit le créateur de la marque.
Au final, une montre d’un très bon rapport qualité-prix (en précommande à 790 euros) qui offre un design assez unique, de jolies finitions, un calibre efficace et une belle personnalité au poignet.