Avant de présenter cette nouveauté, rappelons que de facto, cette montre est inspirée du modèle historique qui fut livré aux forces spéciales dans les années 1990. Ses origines martiales sont donc avérées.
Ce nouveau modèle (en version gaucher), qui s’avère le plus abouti ou en tout cas le plus extrême a été développé avec Brock Stevens, un plongeur au sein de la U.S. Navy, un aventurier, mais aussi, un passionné d’horlogerie.
Les années passées à opérer dans des environnements extrêmes lui ont forgé une vision claire de ce qui compte réellement en matière de plongeuse. L’homme sait de quoi il parle…
Cette montre-outil radicale inaugure une nouvelle génération de JB300 : boîtier en titane grade 5 de 41,5 mm au fini « stonewashed » (un aspect vieilli que l’on adore) et un dual-lume différencié pour la plongée (que l’on retrouve par exemple chez les plongeuses d’Omega).
Ce nouveau modèle (en version gaucher), qui s’avère le plus abouti ou en tout cas le plus extrême a été développé avec Brock Stevens, un plongeur au sein de la U.S. Navy, un aventurier, mais aussi, un passionné d’horlogerie.
Les années passées à opérer dans des environnements extrêmes lui ont forgé une vision claire de ce qui compte réellement en matière de plongeuse. L’homme sait de quoi il parle…
Cette montre-outil radicale inaugure une nouvelle génération de JB300 : boîtier en titane grade 5 de 41,5 mm au fini « stonewashed » (un aspect vieilli que l’on adore) et un dual-lume différencié pour la plongée (que l’on retrouve par exemple chez les plongeuses d’Omega).
La finition « stonewashed » (que l’on pourrait comparer au dévalage d’un jean) a nécessité plusieurs essais successifs avant d’atteindre le juste équilibre entre matière, nuance et résistance. Chaque boîtier a été soumis à un traitement réalisé par microbillage successif, sans polissage.
Ce procédé, affiné après sept itérations, crée une surface mate, non uniforme et à faible réflectivité. Les avantages : atténuer sensiblement des micro-chocs et conférer au titane un aspect patiné au look très brut.
Ici, la texture et les teintes chaudes du titane prennent une patine d’outil, ni brillante ni totalement mate, rappelant les coques d’acier marquées par les ans et la mer.
Ce choix esthétique (radical mais assumé par la marque) est aussi technique : en effet, ce traitement inédit réduit les micro-rayures et modère à la baisse la réflectivité en immersion (toujours un point important pour les montres militaires qui se doivent d’éviter les reflets). C’est une montre de mission, pas d’exposition.
Ce procédé, affiné après sept itérations, crée une surface mate, non uniforme et à faible réflectivité. Les avantages : atténuer sensiblement des micro-chocs et conférer au titane un aspect patiné au look très brut.
Ici, la texture et les teintes chaudes du titane prennent une patine d’outil, ni brillante ni totalement mate, rappelant les coques d’acier marquées par les ans et la mer.
Ce choix esthétique (radical mais assumé par la marque) est aussi technique : en effet, ce traitement inédit réduit les micro-rayures et modère à la baisse la réflectivité en immersion (toujours un point important pour les montres militaires qui se doivent d’éviter les reflets). C’est une montre de mission, pas d’exposition.
Cette montre fut imaginée… Sous l’eau. Lors d’une plongée commune au large de San Francisco en avril 2025, Simo Tber de Jacques Bianchi et Brock Stevens, échangèrent sur ce que devait être une montre de plongée « utile et sans compromis ». Brock portait déjà une JB300 Diver Black qu’il utilisait depuis plusieurs mois en conditions réelles.
Dans le silence et la pression, les deux hommes ont comparé leurs réflexes : l’un, ancré dans l’école française de la montre utilitaire ; le second, formé à la rigueur tactique américaine.
De cette immersion partagée est née la conviction qu’une montre des grands fonds ne se conçoit pas seulement sur une table à dessin mais aussi (et surtout) dans et sous l’eau, avec ceux qui s’en servent.
Une alliance de compétences et d’exigences. Voilà résumé en deux mots le cahier des charges imaginé par Deepsea.EDC et Brock Stevens : lisibilité immédiate, fiabilité, masse contenue, résistance aux chocs et à la corrosion, manipulation aisée avec gants et repères lumineux différenciés.
Dans le silence et la pression, les deux hommes ont comparé leurs réflexes : l’un, ancré dans l’école française de la montre utilitaire ; le second, formé à la rigueur tactique américaine.
De cette immersion partagée est née la conviction qu’une montre des grands fonds ne se conçoit pas seulement sur une table à dessin mais aussi (et surtout) dans et sous l’eau, avec ceux qui s’en servent.
Une alliance de compétences et d’exigences. Voilà résumé en deux mots le cahier des charges imaginé par Deepsea.EDC et Brock Stevens : lisibilité immédiate, fiabilité, masse contenue, résistance aux chocs et à la corrosion, manipulation aisée avec gants et repères lumineux différenciés.
JBM a transposé ces contraintes et ces besoins en un objet homogène, fabriqué localement (à 280 mètres du Vieux Port à Marseille), pensé pour un usage réel et destiné à durer dans le temps.
Comme le souligne Brock Stevens : « une montre de mission doit disparaître au poignet… Jusqu’au moment où vous en avez besoin. La Profonde, c’est exactement ça : simple, lisible et inflexible. »
Pour le reste, cette montre est étanche à 300 mètres, elle dispose bien évidemment d’une lunette unidirectionnelle crantée avec perle (pip) luminescente à 12h à émission verte pour un calage instinctif.
Comme le souligne Brock Stevens : « une montre de mission doit disparaître au poignet… Jusqu’au moment où vous en avez besoin. La Profonde, c’est exactement ça : simple, lisible et inflexible. »
Pour le reste, cette montre est étanche à 300 mètres, elle dispose bien évidemment d’une lunette unidirectionnelle crantée avec perle (pip) luminescente à 12h à émission verte pour un calage instinctif.
Le cadran est toujours « Maxi Dial » (mais sans date), noir à double luminescence : index appliqués en Super-LumiNova® à émission bleue ; aiguille des minutes et perle de lunette à émission verte pour une lecture prioritaire du temps de plongée.
Avec échelle 24 h jaune, pour une seconde lecture et parce que l’armée mesure le temps sur 24h et non sur 12h pour éviter toute confusion dans le timing des opérations.
Cette JB300 de nouvelle génération est motorisée par un mouvement mécanique à remontage automatique suisse (le Soprod P024) affichant une réserve de marche standard de 42 heures. Elle se porte sur un sangle JBM vert kaki.
Avec échelle 24 h jaune, pour une seconde lecture et parce que l’armée mesure le temps sur 24h et non sur 12h pour éviter toute confusion dans le timing des opérations.
Cette JB300 de nouvelle génération est motorisée par un mouvement mécanique à remontage automatique suisse (le Soprod P024) affichant une réserve de marche standard de 42 heures. Elle se porte sur un sangle JBM vert kaki.











