Conformément au principe du Bauhaus « la forme suit la fonction », le cadran argenté mat de cette montre Chronoscope (40 mm, étanche à 30 mètres) se concentre sur l'essentiel et offre une excellente lisibilité. Le design s’inspire des garde-temps conçus par Max Bill en 1961. Les aiguilles à revêtement luminescent, les chiffres et le bracelet en cuir de vachette s’habillent tous de noir ; un noire qui contraste nettement avec le ton clair du cadran.
Avec son boîtier en bois laqué noir piano (165 x 175 mm), la pendule à poser adopte également une esthétique épurée. Ces deux garde-temps portent sur « leur dos » la variation 15 issue de la série « quinze variations sur un même thème » de l’artiste. La variation 15 reprend un thème géométrique de base que Max Bill décrit comme un « mouvement spiralaire composé d'anneaux ».
L’art de Max Bill devient ainsi une source d’enchantement quotidien, à l’extérieur quand on regarde sa montre (enfin, son fond plein) et à la maison quand on regarde sa pendule
Rappelons que d’une manière générale, la collection Max Bill s’inspire des standards du Bauhaus (« la forme suit la fonction »). Qualifiée par les historiens du design d’« horloge murale Max Bill », l'horloge de cuisine de 1956 de Junghans s'est distinguée à l’époque par la conception de son cadran, ultra-lisible.
Plus tard, en 1961, ce design minimaliste fut repris sur les cadrans des toutes premières montres Max Bill. L'artiste portait alors une attention toute particulière à la symbiose de la fonctionnalité et de l'esthétique comme le veut le Bauhaus... Aujourd’hui encore, ces standards en matière de design restent pratiquement inchangés sur les « visages » de la collection Max Bill by Junghans.
A noter que le Bauhaus célèbre cette année son centième anniversaire.
Avec son boîtier en bois laqué noir piano (165 x 175 mm), la pendule à poser adopte également une esthétique épurée. Ces deux garde-temps portent sur « leur dos » la variation 15 issue de la série « quinze variations sur un même thème » de l’artiste. La variation 15 reprend un thème géométrique de base que Max Bill décrit comme un « mouvement spiralaire composé d'anneaux ».
L’art de Max Bill devient ainsi une source d’enchantement quotidien, à l’extérieur quand on regarde sa montre (enfin, son fond plein) et à la maison quand on regarde sa pendule
Rappelons que d’une manière générale, la collection Max Bill s’inspire des standards du Bauhaus (« la forme suit la fonction »). Qualifiée par les historiens du design d’« horloge murale Max Bill », l'horloge de cuisine de 1956 de Junghans s'est distinguée à l’époque par la conception de son cadran, ultra-lisible.
Plus tard, en 1961, ce design minimaliste fut repris sur les cadrans des toutes premières montres Max Bill. L'artiste portait alors une attention toute particulière à la symbiose de la fonctionnalité et de l'esthétique comme le veut le Bauhaus... Aujourd’hui encore, ces standards en matière de design restent pratiquement inchangés sur les « visages » de la collection Max Bill by Junghans.
A noter que le Bauhaus célèbre cette année son centième anniversaire.
