La marque horlogère indépendante Louis Erard, spécialisée dans les régulateurs, poursuit ses collab’s. Ainsi, après ses montres cosignées par Alain Silberstein ou Vianney Halter (deux gros succès commerciaux), l’horloger présente cette fois-ci un modèle imaginé avec oï, une entreprise régionale de renommée internationale.
On remarque que pour la première fois, la collaboration sort du champ strict de l’horlogerie, puisque atelier oï œuvre dans l’architecture et le design (Louis Vuitton, Rimowa, Bvlgari, etc.). L’invitation n’est toutefois pas le fruit du hasard puisque cet atelier est basé à La Neuveville, bourg de Neuchâtel. C’est aussi là que Manuel Emch, actuel patron de Louis Erard fit son tout premier stage !
En trois décennies, atelier oï est devenu une marque en soi, rayonnant dans le monde entier, récompensé par plus d’une trentaine de distinctions. Par ailleurs, le nom, oï, est emprunté au russe Troïka, mot symbole de l’énergie générée par un trio, en l’occurrence, Aurel Aebi, Armand Louis et Patrick Reymond, les trois co-fondateurs.
On remarque que pour la première fois, la collaboration sort du champ strict de l’horlogerie, puisque atelier oï œuvre dans l’architecture et le design (Louis Vuitton, Rimowa, Bvlgari, etc.). L’invitation n’est toutefois pas le fruit du hasard puisque cet atelier est basé à La Neuveville, bourg de Neuchâtel. C’est aussi là que Manuel Emch, actuel patron de Louis Erard fit son tout premier stage !
En trois décennies, atelier oï est devenu une marque en soi, rayonnant dans le monde entier, récompensé par plus d’une trentaine de distinctions. Par ailleurs, le nom, oï, est emprunté au russe Troïka, mot symbole de l’énergie générée par un trio, en l’occurrence, Aurel Aebi, Armand Louis et Patrick Reymond, les trois co-fondateurs.
Atelier oï a procédé de manière simple : « Rayonner du centre vers l’extérieur ». Le résultat est un cadran gris ardoise (Black or) gravé de rayons asymétriques dont la lumière révèle les reflets et les contrastes - écho à la passion des membres de l’atelier pour la matière et les jeux de lumières. Une création qui n’est pas sans évoquer un cadran solaire…
Le Régulateur a naturellement imposé son rythme : les aiguille bleues (heure, minute, seconde) deviennent des centres d’où partent des rayons, générant une cinétique visuelle que chaque mouvement du poignet anime. On remarquera, et c’est une bonne chose, l’absence du logo Louis Erard qui aurait cassé le « rythme » de ce cadran !
Le Régulateur a naturellement imposé son rythme : les aiguille bleues (heure, minute, seconde) deviennent des centres d’où partent des rayons, générant une cinétique visuelle que chaque mouvement du poignet anime. On remarquera, et c’est une bonne chose, l’absence du logo Louis Erard qui aurait cassé le « rythme » de ce cadran !
La lecture de l’heure en ressort quelque peu dématérialisée -il faut reconstruire mentalement le puzzle des angles horaires- mais tous les liens ne sont pas rompus : la minuterie apparait en effet, toujours sur le pourtour du cadran, avec une ligne plus appuyée chaque cinq minutes et exactement soixante segments.
Cette édition limitée à 178 exemplaires embarque un boitier en acier de 42 mm (étanche à 50 mètres) doté d’un calibre automatique Sellita SW266-1 (4Hz, 31 rubis) d’une réserve de marche standard de 38h. Le cadran est protégé par un verre bombé avec traitement antireflet sur les deux faces. Le mouvement est visible à travers le fond transparent. Fond gravé « atelier oï x Louis Erard Limited.
Ce garde-temps se porte sur un bracelet en veau nubuck gris « Covey » avec coutures ton sur ton et boucle ardillon en acier poli avec barrettes à ergot pour un changement rapide du strap.
Cette édition limitée à 178 exemplaires embarque un boitier en acier de 42 mm (étanche à 50 mètres) doté d’un calibre automatique Sellita SW266-1 (4Hz, 31 rubis) d’une réserve de marche standard de 38h. Le cadran est protégé par un verre bombé avec traitement antireflet sur les deux faces. Le mouvement est visible à travers le fond transparent. Fond gravé « atelier oï x Louis Erard Limited.
Ce garde-temps se porte sur un bracelet en veau nubuck gris « Covey » avec coutures ton sur ton et boucle ardillon en acier poli avec barrettes à ergot pour un changement rapide du strap.