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Louis Erard Régulateur Tourbillon x Alain Silberstein noir : 78 exemplaires


Le Régulateur Tourbillon Louis Erard x Alain Silberstein Noir dévoile une nouvelle collaboration entre la marque horlogère et le créateur qui travaillent ensemble depuis 2019. Le tourbillon, sommet de l’art horloger, sommet de la pensée d’Alain Silberstein, n’avait encore jamais été proposé en pièce seule — seulement en triptyque. Ni sur fond noir, cette couleur qui n’en est pas une, mais sur laquelle toutes les autres se révèlent. Série limitée, 78 exemplaires.



Le noir n’est pas une couleur (tout comme le blanc d’ailleurs). Le noir, c’est la « voie express » pour atteindre l’essentiel : à savoir, la lecture du temps, la lecture des temps.
 
Au cours de sa longue carrière de plus de 35 ans, Alain Silberstein a exploré toutes les possibilités, jusqu’à construire ses propres gammes de couleurs. Mais ses racines sont dans l’essentiel, spectre de base, bleu, rouge, jaune, sur fond noir.
 
La signature, l’image de marque d’Alain Silberstein, depuis longtemps, depuis ses premières créations d’inspiration Bauhaus, dans les années 1990.
 
Le tourbillon, ce n’est pas juste un mécanisme génial, ce chasseur de gravité que Breguet a offert au patrimoine horloger. Le tourbillon, c’est la vie comme le chantait si bien Jeanne Moreau !

Alain Silberstein n’avait plus eu l’occasion de réaliser de montre à tourbillon depuis plus d’une décennie. Cependant, son amitié avec Manuel Emch, dirigeant et directeur artistique de Louis Erard, a permis ce retour ! En beauté de surcroit.
 
Ce, avec la complicité d’une troisième inspiration : l’horloger Olivier Mory, figure de la créativité mécanique contemporaine. Ce dernier a révolutionné, il y a quelques années, l’art du tourbillon en réalisant un mouvement personnalisable, accessible, mais totalement suisse, entièrement fabriqué dans un rayon de quelques kilomètres autour de son atelier, à La Chaux-de-Fonds, au cœur du pays horloger suisse.
 
Le fabricant du tourbillon, Olivier Mory, est une personnalité discrète, mais unique dans le paysage horloger suisse. Il s’est formé dans le calibre de grand volume, chez Sellita, avant de s’intéresser à la haute horlogerie, chez ValFleurier, puis de faire le pont entre les deux mondes, rendant, lui aussi, accessible l’inaccessible.
 
Le mouvement à remontage manuel (3Hz ; cent heures de réserve de marche) qu’il a développé pour Louis Erard témoigne de son talent. Le tourbillon n’est traditionnellement pas couplé au régulateur -complication signature de Louis Erard depuis sa création en 1929- même si les deux complications ont la même origine : la chronométrie.
 
Il ne manquait qu’une vision pour rassembler les deux mondes, celle de Manuel Emch, et une mise en scène, laissée à Alain Silberstein. Ils ont déjà eu l’occasion de sceller leur complicité au travers de nombreuses collaborations…
 
Cette nouvelle création au cadran noir mat et aiguilles « signature » Silberstein est proposé dans un boitier en titane grade 2 microbillé et titane grade 5 poli de 40 mm de diamètre étanche à 100 mètres (très rare pour un tourbillon). Le cadran est protégé par un verre saphir avec traitement antireflet sur les deux faces. Le mouvement est visible à travers le fond transparent.

Cette édition limitée se porte sur un bracelet en nylon noir. A découvrir chez Chronopassion à Paris.

Montres-de-luxe.com | Publié le 22 Mars 2024 | Lu 4413 fois





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