Le marché de la montre et du bijou d’occasion a énormément évolué ces dernières années avec l’arrivée sur le marché d’acteurs aussi incontournables que puissants comme Chrono24 ou encore, Collector Square.
Oui, mais parmi ces revendeurs de montres et bijoux d’occasion, il ne faut pas oublier les pionniers, ceux qui commencèrent quand ce business n’était encore que marginal, voire même un peu « honteux » pour certains qui considéraient que la seconde main n’était pas vraiment du luxe.
Aujourd’hui, les temps ont bien changé. Le produit de luxe d’occasion est un marché en pleine expansion. Revenons donc sur l’une des toutes premières boutiques parisiennes qui se lança il y a trente ans : la maison Miller.
La maison Miller, c’est avant tout une histoire de famille et de transmission d’un patrimoine ! Jean Miller et sa fille Carine, qui vient de terminer ses études de gemmologie au GIA de Santa Monica, s’installent au Marché Biron en 1985. Ils ouvrent alors, « Les Authentiques », un petit écrin de bijoux haut de gamme anciens et signés.
La boutique se développe au milieu des antiquaires de bois dorés Napoléon III, de verreries 1900, et de quelques boutiques de tableaux ou objets à chiner. Fort de leur succès, ce duo père/fille de passionnés, ouvre en 1989 sa deuxième boutique : Miller, sur un tronçon de la rue Saint Honoré à Paris qui, à l’époque, comportait quelques boutiques luxueuses mais surtout de nombreux commerces de bouche.
A deux pas de la très chic Place Vendôme, temple des grandes maisons de luxe, ils y développent alors un marché de l’occasion presque inexistant à cette époque. En 2015, la transmission continue avec l’arrivée de Sarah, la fille de Carine, diplômée également de Gemmologie par le GIA de Londres.
Après avoir conjointement dirigé la boutique avec Carine, Sarah tient depuis bientôt deux ans les rênes de l’entreprise. Elle apporte une nouvelle dynamique et tient compte des envies et tendances actuelles, repense le site internet (longtemps « has been ») et développe la notoriété de la boutique à travers les réseaux sociaux.
Miller et sa petite devanture à la décoration Art-déco propose des bijoux et des montres d’occasion. Parmi les marques ? Cartier, Boucheron, Van Cleef Arpels ou encore Rolex et Jaeger Lecoultre. Des modèles rétro des années 30 mais aussi des pièces vintage des années 70/80 et quelques raretés des chez Boivin, Belperron ou Després qui ne se commercialisent plus.
« Les bijoux et les montres sont confiés à l’atelier pour une vérification de leur état, suivie d’une remise à neuf si nécessaire et d’un examen rigoureux : l’usure, la fabrication, les poinçons, la numérotation, la signature. Chaque pièce est scrupuleusement authentifiée » assure le communiqué.
Sachant que même si c’est plus cher qu’un particulier, c’est toujours plus rassurant de passer par le biais d’un magasin aillant pignon sur rue pour s’offrir un bijou ou une montre d’occasion…
Oui, mais parmi ces revendeurs de montres et bijoux d’occasion, il ne faut pas oublier les pionniers, ceux qui commencèrent quand ce business n’était encore que marginal, voire même un peu « honteux » pour certains qui considéraient que la seconde main n’était pas vraiment du luxe.
Aujourd’hui, les temps ont bien changé. Le produit de luxe d’occasion est un marché en pleine expansion. Revenons donc sur l’une des toutes premières boutiques parisiennes qui se lança il y a trente ans : la maison Miller.
La maison Miller, c’est avant tout une histoire de famille et de transmission d’un patrimoine ! Jean Miller et sa fille Carine, qui vient de terminer ses études de gemmologie au GIA de Santa Monica, s’installent au Marché Biron en 1985. Ils ouvrent alors, « Les Authentiques », un petit écrin de bijoux haut de gamme anciens et signés.
La boutique se développe au milieu des antiquaires de bois dorés Napoléon III, de verreries 1900, et de quelques boutiques de tableaux ou objets à chiner. Fort de leur succès, ce duo père/fille de passionnés, ouvre en 1989 sa deuxième boutique : Miller, sur un tronçon de la rue Saint Honoré à Paris qui, à l’époque, comportait quelques boutiques luxueuses mais surtout de nombreux commerces de bouche.
A deux pas de la très chic Place Vendôme, temple des grandes maisons de luxe, ils y développent alors un marché de l’occasion presque inexistant à cette époque. En 2015, la transmission continue avec l’arrivée de Sarah, la fille de Carine, diplômée également de Gemmologie par le GIA de Londres.
Après avoir conjointement dirigé la boutique avec Carine, Sarah tient depuis bientôt deux ans les rênes de l’entreprise. Elle apporte une nouvelle dynamique et tient compte des envies et tendances actuelles, repense le site internet (longtemps « has been ») et développe la notoriété de la boutique à travers les réseaux sociaux.
Miller et sa petite devanture à la décoration Art-déco propose des bijoux et des montres d’occasion. Parmi les marques ? Cartier, Boucheron, Van Cleef Arpels ou encore Rolex et Jaeger Lecoultre. Des modèles rétro des années 30 mais aussi des pièces vintage des années 70/80 et quelques raretés des chez Boivin, Belperron ou Després qui ne se commercialisent plus.
« Les bijoux et les montres sont confiés à l’atelier pour une vérification de leur état, suivie d’une remise à neuf si nécessaire et d’un examen rigoureux : l’usure, la fabrication, les poinçons, la numérotation, la signature. Chaque pièce est scrupuleusement authentifiée » assure le communiqué.
Sachant que même si c’est plus cher qu’un particulier, c’est toujours plus rassurant de passer par le biais d’un magasin aillant pignon sur rue pour s’offrir un bijou ou une montre d’occasion…