La Rado DiaStar fut présentée pour la première fois en 1962, elle célèbre donc cette année ses soixante années de bons et loyaux services.
Cette montre au design étonnant, inaugura l’utilisation –inédite à l’époque- du métal dur dans un garde-temps « établissant ainsi la réputation de la marque en tant que pionnière et véritable référence dans le secteur de l’horlogerie en termes de longévité et de design inimitable ».
Plus concrètement, cette pièce découlait d’une véritable volonté de la marque « de transformer la pureté et la beauté en une montre caractérisée par une longévité et une solidité inégalées ». Chose rare à l’époque où les garde-temps étaient souvent en métaux précieux ou dans des aciers relativement fragiles.
Cette montre au design étonnant, inaugura l’utilisation –inédite à l’époque- du métal dur dans un garde-temps « établissant ainsi la réputation de la marque en tant que pionnière et véritable référence dans le secteur de l’horlogerie en termes de longévité et de design inimitable ».
Plus concrètement, cette pièce découlait d’une véritable volonté de la marque « de transformer la pureté et la beauté en une montre caractérisée par une longévité et une solidité inégalées ». Chose rare à l’époque où les garde-temps étaient souvent en métaux précieux ou dans des aciers relativement fragiles.
Ce postulat mit les compétences et l’imagination des designers Rado à rude épreuve : en théorie, les propriétés physiques exceptionnelles du métal dur, à savoir sa capacité à résister à une compression extrême et sa résistance à l’oxydation ainsi qu’aux contraintes thermiques et mécaniques, en faisaient un matériau adéquat pour un boîtier de montre résistant aux rayures.
Pourtant, en pratique, le métal dur s’est avéré extrêmement difficile à travailler et la marque a dû mettre toute son audace à profit pour réussir... En fin de compte, le design révolutionnaire de ce modèle a montré à quel point l’utilisation d’un nouveau matériau pouvait entrainer la création d’un « nouvel idéal esthétique ».
De fait, le design de la Rado DiaStar -et de toutes les créations Rado qui ont suivi d’ailleurs-, souligne les qualités intrinsèques des matériaux utilisés par la marque jusqu’à nos jours ; si aujourd’hui l’emploi de nouvelles matière dans l’industrie horlogère est courante, ce n’était le cas à l’époque, cette industrie étant des plus conservatrices…
Pourtant, en pratique, le métal dur s’est avéré extrêmement difficile à travailler et la marque a dû mettre toute son audace à profit pour réussir... En fin de compte, le design révolutionnaire de ce modèle a montré à quel point l’utilisation d’un nouveau matériau pouvait entrainer la création d’un « nouvel idéal esthétique ».
De fait, le design de la Rado DiaStar -et de toutes les créations Rado qui ont suivi d’ailleurs-, souligne les qualités intrinsèques des matériaux utilisés par la marque jusqu’à nos jours ; si aujourd’hui l’emploi de nouvelles matière dans l’industrie horlogère est courante, ce n’était le cas à l’époque, cette industrie étant des plus conservatrices…
Ce garde-temps est venu couronner, voire cristalliser, des années d’essais et d’expérimentations dédiées au développement de nouvelles formes et revêtements.
Matériau composite à base de carbure de tungstène et d’un liant métallique, le métal dur est moulé et estampé à la presse à une pression de 1.000 bar pour former un boîtier brut qui est ensuite fritté dans un fourneau sous vide à 1’450°C. Ce processus a permis d’obtenir une dureté incroyable comprise entre 1.400 et 2.000 Vickers et une brillance après polissage à la poussière de diamant ajoutant un éclat incomparable à la montre. Là encore, tout ceci était nouveau à l’époque.
Afin d’être en accord avec la solidité du boitier, il a également fallu que les ingénieurs de chez Rado travaillent sur la qualité du verre de la montre qui, lui aussi, devait être d’une extrême résistance -il serait sinon, devenu le talon d’Achille de ce garde-temps par ailleurs ultrasolide.
La solution trouvée fut l’utilisation du fameux verre saphir, bien connu aujourd’hui. Et depuis, la Rado DiaStar et toutes les autres montres Rado qui ont suivi, ont été équipées de ce type de verre.
Matériau composite à base de carbure de tungstène et d’un liant métallique, le métal dur est moulé et estampé à la presse à une pression de 1.000 bar pour former un boîtier brut qui est ensuite fritté dans un fourneau sous vide à 1’450°C. Ce processus a permis d’obtenir une dureté incroyable comprise entre 1.400 et 2.000 Vickers et une brillance après polissage à la poussière de diamant ajoutant un éclat incomparable à la montre. Là encore, tout ceci était nouveau à l’époque.
Afin d’être en accord avec la solidité du boitier, il a également fallu que les ingénieurs de chez Rado travaillent sur la qualité du verre de la montre qui, lui aussi, devait être d’une extrême résistance -il serait sinon, devenu le talon d’Achille de ce garde-temps par ailleurs ultrasolide.
La solution trouvée fut l’utilisation du fameux verre saphir, bien connu aujourd’hui. Et depuis, la Rado DiaStar et toutes les autres montres Rado qui ont suivi, ont été équipées de ce type de verre.
Tout comme en 2012, Rado célèbre donc en 2022 une nouvelle décennie pour sa DiaStar avec une réédition réalisée en édition spéciale imaginée avec le designer Alfredo Häberli. Le boitier (38x45) étanche à 100 mètres, offre une partie centrale en acier poli associé à une lunette Ceramos polie à surface externe conique brossée radialement. La couronne est en acier également arborant un symbole d'ancre mat.
Le cadran gris métallisé brossé circulaire est protégé par un verre saphir à facettes hexagonales avec revêtement antireflet sur la face intérieure. Il arbore des index à points remplis de Superluminova de couleur naturelle tout comme les aiguilles heures et minutes de couleur rhodium. On remarque bien évidemment la présence de l’ancre mobile de couleur argentée sur fond gris métallisé qui indique que cette Rado embarque un calibre mécanique (doré en l'occurrence) .
A ce titre, il s’agit du Calibre Rado R764 (plaqué or), automatique (25 rubis) et amagnétique avec affichage de la date et du jour graphique avec 2 couleurs en Superluminova gris ou naturel à 6 heures. Sa réserve de marche est largement weekend proof avec ses 80h !
L’ensemble, extrêmement réussi, se porte sur un bracelet en maille milanaise qui évoque bien évidemment les sixties. Livrée avec un strap supplémentaire en textile gris, boucle déployante en acier brossé et poussoirs polis. A découvrir chez Emile Leon à Paris.
Le cadran gris métallisé brossé circulaire est protégé par un verre saphir à facettes hexagonales avec revêtement antireflet sur la face intérieure. Il arbore des index à points remplis de Superluminova de couleur naturelle tout comme les aiguilles heures et minutes de couleur rhodium. On remarque bien évidemment la présence de l’ancre mobile de couleur argentée sur fond gris métallisé qui indique que cette Rado embarque un calibre mécanique (doré en l'occurrence) .
A ce titre, il s’agit du Calibre Rado R764 (plaqué or), automatique (25 rubis) et amagnétique avec affichage de la date et du jour graphique avec 2 couleurs en Superluminova gris ou naturel à 6 heures. Sa réserve de marche est largement weekend proof avec ses 80h !
L’ensemble, extrêmement réussi, se porte sur un bracelet en maille milanaise qui évoque bien évidemment les sixties. Livrée avec un strap supplémentaire en textile gris, boucle déployante en acier brossé et poussoirs polis. A découvrir chez Emile Leon à Paris.