Roger Dubuis a consacré une grande partie de ses travaux et de ses recherches horlogères (notamment pour le compte de Patek Philippe) aux mouvements chronographes. Avec le temps, cet horloger de renom a développé une véritable passion pour cette complication.
Fort logiquement, lorsqu’il fonda son entreprise éponyme en 1995 avec son associé Carlos Dias, le chronographe a donc tout naturellement compté parmi les toutes premières montres qu’il a créées.
Depuis cette époque, cette complication demeure un pilier emblématique de l’horlogerie Roger Dubuis. Ces trente années aboutissent aujourd’hui à cette cinquième génération de chronographes, révélée pour la première fois en 2023.
La roue à colonnes, caractéristique emblématique du calibre, s’offre au regard du porteur à 6h. Pour rappel, cette dernière orchestre en toute fluidité, les fonctions de démarrage, d’arrêt et de remise à zéro du chronographe !
Fort logiquement, lorsqu’il fonda son entreprise éponyme en 1995 avec son associé Carlos Dias, le chronographe a donc tout naturellement compté parmi les toutes premières montres qu’il a créées.
Depuis cette époque, cette complication demeure un pilier emblématique de l’horlogerie Roger Dubuis. Ces trente années aboutissent aujourd’hui à cette cinquième génération de chronographes, révélée pour la première fois en 2023.
La roue à colonnes, caractéristique emblématique du calibre, s’offre au regard du porteur à 6h. Pour rappel, cette dernière orchestre en toute fluidité, les fonctions de démarrage, d’arrêt et de remise à zéro du chronographe !
Dans ce calibre, la roue à colonnes est façonnée dans de l’acier et parachevée d’une décoration en zinc poli. Cette technique, qui produit un brillant intense, est généralement réservée aux composants de forme singulière.
L’embrayage vertical incarne également cette alliance entre tradition et performance. Ce mécanisme est très similaire à celui utilisé dans l’univers automobile pour changer de vitesse.
Situé à 3h, le compteur de minutes rotatif à 120° (RMC) est un élément (assez spectaculaire) conçu dans une forme isotoxale (en étoile). Ce compteur présente un affichage -en instance de brevet- qui porte les chiffres 0,1 et 2.
L’embrayage vertical incarne également cette alliance entre tradition et performance. Ce mécanisme est très similaire à celui utilisé dans l’univers automobile pour changer de vitesse.
Situé à 3h, le compteur de minutes rotatif à 120° (RMC) est un élément (assez spectaculaire) conçu dans une forme isotoxale (en étoile). Ce compteur présente un affichage -en instance de brevet- qui porte les chiffres 0,1 et 2.
Tandis que son aiguille tripartite pivote, elle glisse devant les chiffres 0 à 9 placés sur la droite, avec des chiffres rouges surdimensionnés garantissant une lecture aisée. « Une fois le chronographe activé, le RMC offre une performance visuelle dynamique et captivante » assure la marque dans son communiqué.
La deuxième innovation de ce calibre est le système de frein (SBS) -également en instance de brevet- qui est intégré au mécanisme d’embrayage vertical du mouvement. « Il confère une stabilité accrue à l’aiguille des secondes du chronographe et en réduit les oscillations » précise encore la marque dans son communiqué.
À 9h, on remarque la présence d’un balancier incliné à 12°. Les composants du mécanisme d’échappement, en silicium diamanté, renforcent quant à eux, les performances de la montre, offrant des propriétés antimagnétiques pour une précision durable.
La deuxième innovation de ce calibre est le système de frein (SBS) -également en instance de brevet- qui est intégré au mécanisme d’embrayage vertical du mouvement. « Il confère une stabilité accrue à l’aiguille des secondes du chronographe et en réduit les oscillations » précise encore la marque dans son communiqué.
À 9h, on remarque la présence d’un balancier incliné à 12°. Les composants du mécanisme d’échappement, en silicium diamanté, renforcent quant à eux, les performances de la montre, offrant des propriétés antimagnétiques pour une précision durable.
Outre une réserve de marche de 72 heures, confortable, la montre répond aux critères du prestigieux Poinçon de Genève. Pour obtenir ce label, la maison a méticuleusement décoré les 333 composants à l’aide de seize différentes techniques de finition.
Cette montre arbore un boîtier ajouré de 45 mm en or rose et des poussoirs squelettés. Seuls 88 exemplaires de ce garde-temps seront disponibles, en référence au chiffre porte-bonheur de Roger Dubuis. Ce nombre s’inscrit également en surbrillance sur l’échelle tachymétrique.
Le rotor que l’on peut observer par le fond de boîtier arbore cinq bras évoquant les jantes d’une supercar, sublimés par les lignes épurées signature de Roger Dubuis. Les tons chauds de l’or rose contrastent avec le bracelet en caoutchouc noir, équipé d’un Quick Release System.
Cette montre arbore un boîtier ajouré de 45 mm en or rose et des poussoirs squelettés. Seuls 88 exemplaires de ce garde-temps seront disponibles, en référence au chiffre porte-bonheur de Roger Dubuis. Ce nombre s’inscrit également en surbrillance sur l’échelle tachymétrique.
Le rotor que l’on peut observer par le fond de boîtier arbore cinq bras évoquant les jantes d’une supercar, sublimés par les lignes épurées signature de Roger Dubuis. Les tons chauds de l’or rose contrastent avec le bracelet en caoutchouc noir, équipé d’un Quick Release System.