Avant de présenter cette nouveauté, rappelons que la marque Trilobe a été lancée à la rentrée 2018 par un jeune Français, Gautier Massonneau (un ex des Ponts-et-Chaussées) qui a passé une grande partie de sa vie à l’étranger.
A l’origine, il s’agissait d’une montre heure, minute et seconde affichant le temps qui passe d’une autre manière ; et notamment sans aiguille.
Une grande tendance sur le marché depuis une vingtaine d’années avec l’arrivée d’une nouvelle génération d’horlogers indépendants qui a décidé de faire « exploser » la lecture traditionnelle de l’heure.
A l’origine, il s’agissait d’une montre heure, minute et seconde affichant le temps qui passe d’une autre manière ; et notamment sans aiguille.
Une grande tendance sur le marché depuis une vingtaine d’années avec l’arrivée d’une nouvelle génération d’horlogers indépendants qui a décidé de faire « exploser » la lecture traditionnelle de l’heure.
Au départ, le calibre de ce garde-temps unique en son genre avait été mis point par l’horloger Jean-François Mojon sur la base d’un calibre mécanique automatique ETA 2892 « hautement modifié ». Or, depuis quelques semaines, les choses ont changé et désormais, Trilobe propose son propre calibre automatique (micro-rotor), le X-Centric d’une réserve de marche de 48h.
« En puisant ainsi son inspiration dans les codes esthétiques de l’architecture (…), le mouvement offre un contraste visuel à travers une platine bicolore : quête de luminosité côté face et invitation dans les profondeurs d’un gris orage côté pile » précise le communiqué. Ce calibre étant visible côté fond grâce à un verre saphir.
Pour autant, l’aspect général de ce garde-temps n’a pas changé (sa taille était déjà passée de 41,5 à 40,5 mm dans les versions précédentes), si ce n’est que la montre est légèrement moins épaisse grâce ce calibre plus plat… Quelques petites modifications qui permettent juste au boitier aux cornes rapportées, étanche à 30 mètres, d’être un peu plus fin. Ce qui n’est pas plus mal d’ailleurs.
« En puisant ainsi son inspiration dans les codes esthétiques de l’architecture (…), le mouvement offre un contraste visuel à travers une platine bicolore : quête de luminosité côté face et invitation dans les profondeurs d’un gris orage côté pile » précise le communiqué. Ce calibre étant visible côté fond grâce à un verre saphir.
Pour autant, l’aspect général de ce garde-temps n’a pas changé (sa taille était déjà passée de 41,5 à 40,5 mm dans les versions précédentes), si ce n’est que la montre est légèrement moins épaisse grâce ce calibre plus plat… Quelques petites modifications qui permettent juste au boitier aux cornes rapportées, étanche à 30 mètres, d’être un peu plus fin. Ce qui n’est pas plus mal d’ailleurs.
Pour le reste, on retrouve bien évidemment, les trois anneaux rotatifs portant des échelles graduées marquant les heures à l’extérieur, les minutes au centre et les secondes à l’intérieur ; trois trilobes* fixes pointant sur ces anneaux en mouvement. Ils s’affichent dans cette version, sur un beau cadran argent soleillé.
Une lecture de l’heure qui semble compliquée de prime abord mais qui s’avère très intuitive et qui s’apprivoise finalement en quelques… minutes. L’ensemble étant bien évidemment, protégé par un verre saphir légèrement bombé.
Ce garde-temps en or rose se porte sur un alligator marron avec boucle ardillon en or rose.
*Rappelons que le Trilobe est un motif d’architecture et qu’il fait écho aux trois piliers du temps - Heures, Minutes et Secondes.
Une lecture de l’heure qui semble compliquée de prime abord mais qui s’avère très intuitive et qui s’apprivoise finalement en quelques… minutes. L’ensemble étant bien évidemment, protégé par un verre saphir légèrement bombé.
Ce garde-temps en or rose se porte sur un alligator marron avec boucle ardillon en or rose.
*Rappelons que le Trilobe est un motif d’architecture et qu’il fait écho aux trois piliers du temps - Heures, Minutes et Secondes.
