« L'homme n'est pas ce qu'il est, il est ce qu'il fait » disait Malraux. C'est ce qu'incarne parfaitement Nicolas G. Hayek.
Passionné, humaniste, exigeant, ou innovateur, il affronte sans détours les réalités du monde d'aujourd'hui en vivant son métier d'entrepreneur comme un formidable levier pour pouvoir changer les choses. Homme de liberté et d'engagement, il exprime sans langue de bois des convictions qui sortent des sentiers battus.
Dans une période caractérisée par les incertitudes, les questionnements, les doutes et les craintes, dans un environnement où il ne peut être fait abstraction de la composante « entreprise », il est peut-être utile d'entendre les enseignements d'un homme qui croit en l'avenir.
Au-delà de la saga Swatch :
Entretiens d'un authentique entrepreneur avec Friedemann Bartu
Albin Michel
Format : 225 mm x 145 mm
240 pages
ISBN : 2226170790
Prix : 18.00 euros
Passionné, humaniste, exigeant, ou innovateur, il affronte sans détours les réalités du monde d'aujourd'hui en vivant son métier d'entrepreneur comme un formidable levier pour pouvoir changer les choses. Homme de liberté et d'engagement, il exprime sans langue de bois des convictions qui sortent des sentiers battus.
Dans une période caractérisée par les incertitudes, les questionnements, les doutes et les craintes, dans un environnement où il ne peut être fait abstraction de la composante « entreprise », il est peut-être utile d'entendre les enseignements d'un homme qui croit en l'avenir.
Au-delà de la saga Swatch :
Entretiens d'un authentique entrepreneur avec Friedemann Bartu
Albin Michel
Format : 225 mm x 145 mm
240 pages
ISBN : 2226170790
Prix : 18.00 euros
Extrait
« Je ne travaille pas... je m’amuse huit à quatorze heures par jour ! » Telle est la réponse qui fuse lorsqu’on demande à Nicolas G. Hayek (soixante-dix-sept ans en 2005) combien de temps il consacre à son travail.
Son bureau à Bienne au siège du Swatch Group comme celui de Zurich chez Hayek Engineering en font foi. Tous deux ressemblent à de joyeux capharnaüms dans lesquels le président et administrateur délégué du conseil d’administration du plus grand groupe horloger mondial prend un plaisir non dissimulé. Pêle-mêle accrochés aux murs, des photos – ici le « boss » avec une star du cinéma, là avec un champion sportif ou un top model – mais aussi des diplômes, des distinctions, des trophées, des dessins de presse, des collages qui témoignent du succès légendaire de l’entrepreneur de loin le plus respecté de Suisse. Nicolas G. Hayek est à l’image de ces lieux et il dégage un enthousiasme spontané et rafraîchissant qu’il est très rare de rencontrer dans les bureaux feutrés des grands patrons. Ce n’est pas pour rien que cet entrepreneur pur sang insiste toujours sur le fait que celui qui veut vraiment réussir doit garder la fantaisie et la curiosité d’un enfant de six ans. Il se décrit d’ailleurs lui-même comme un enfant de six ans riche de soixante-dix années d’expérience.
Son groupe, il le dirige comme un patron « à l’ancienne » : il y est viscéralement attaché et les vacances qu’il s’octroie de temps à autre s’assimilent souvent à une simple délocalisation de son lieu de travail. Dans son bureau zurichois, une des photographies qu’il préfère le montre de face en train de monter les marches du palais fédéral à Berne.
Son bureau à Bienne au siège du Swatch Group comme celui de Zurich chez Hayek Engineering en font foi. Tous deux ressemblent à de joyeux capharnaüms dans lesquels le président et administrateur délégué du conseil d’administration du plus grand groupe horloger mondial prend un plaisir non dissimulé. Pêle-mêle accrochés aux murs, des photos – ici le « boss » avec une star du cinéma, là avec un champion sportif ou un top model – mais aussi des diplômes, des distinctions, des trophées, des dessins de presse, des collages qui témoignent du succès légendaire de l’entrepreneur de loin le plus respecté de Suisse. Nicolas G. Hayek est à l’image de ces lieux et il dégage un enthousiasme spontané et rafraîchissant qu’il est très rare de rencontrer dans les bureaux feutrés des grands patrons. Ce n’est pas pour rien que cet entrepreneur pur sang insiste toujours sur le fait que celui qui veut vraiment réussir doit garder la fantaisie et la curiosité d’un enfant de six ans. Il se décrit d’ailleurs lui-même comme un enfant de six ans riche de soixante-dix années d’expérience.
Son groupe, il le dirige comme un patron « à l’ancienne » : il y est viscéralement attaché et les vacances qu’il s’octroie de temps à autre s’assimilent souvent à une simple délocalisation de son lieu de travail. Dans son bureau zurichois, une des photographies qu’il préfère le montre de face en train de monter les marches du palais fédéral à Berne.
